Décidément, Tropisme n’a pas fini de nous surprendre. Au fur et à mesure des années, toujours plus d’artistes passent par le tiers-lieu, à l’image du jeune autodidacte aixois Johan Papaconstantino. Seulement un EP à son actif, le peintre et musicien a su séduire un large public avec ses productions aux frontières entre la pop, l’électro et la musique grecque. Bouzouki, guitare, machines, auto-tune et textes sincères sont les ingrédients principaux de l’incroyable recette du monsieur. À goûter d’urgence si vous ne connaissez pas.